Tout ou presque sur le meilleur groupe de tous les temps
Paul est mort ? " I BURIED PAUL "
J'AI enterré PAUL !
(John Lennon)

Les Beatles du SpeeDEricH.com

beat065.jpg (28136 octets)Paul McCartney, le célèbre bassiste chanteur gaucher des Beatles est mort. Il s'est tué dans un accident de voiture, et il a été remplacé par un sosie...
Le début de l'histoire commence par la fin du groupe....Vendredi 8 Août 1969, à Londres et il fait très chaud ce jour là. Les rues sont vides, ou quasiment, certains recherchant un peu de fraîcheur à l'ombre des tonnelles des maisons de cette zone résidentielle, ou d'autres encore se retrouvant dans des salons pour bavarder autour de théières glacées. Pendant ce temps, et en dépit de ce temps peu courant en Angleterre, quatre jeunes gens traversent, retraversent et traversent indéfiniment mais pas inlassablement la rue de l'Abbaye : ABBEY Road. Ces quatre personnes sont bien sûr les Beatles. Ils posent en effet pour l'objectif de Iain Macmillan chargé d'illustrer la pochette du nouvel album du groupe, et qui pour l'occasion s'est juché sur un escabeau pour réussir cette séance photo. En effet, en dépit du semi échec artistique et relationnel qu'à beat026bis.jpg (3157 octets) occasionné l'enregistrement de " Let it Be ", le groupe, sous l'impulsion de Paul, a décidé de se réunir à nouveau aux studios de ABBEY Road sous la houlette de George Martin, dans l'espoir que la magie réapparaisse. Cela fait longtemps que les Beatles n'ont pas réalisés de séances photos, et c'est avec une certaine retenue qu'ils se prêtent à cette mascarade, et marche en file indienne, les mains dans les poches, sans se soucier de ce que l'on attend d'eux. La pochette, d'ailleurs, les immortalisera ainsi, traversant une rue déserte avec par ordre de marche John Lennon, RINGO STARR, Paul McCartney, et George Harrison. L'album sort ainsi dans les bacs le 26 Septembre 1969 en Grande Bretagne et le 1er Octobre de la même année aux États-Unis. Des États Unis, c'est de là que née la rumeur de la mort de Paul. Cette dernière est lancée par un animateur de la radio WKNR de Détroit dans le Michigan : Russ Gibbs. Pour lui la mort de Paul est évidente : il est bien mort en 1966, au volant beat024bis.jpg (3144 octets) de sa voiture, une Aston Martin, et sur l'initiative des autres membres du groupe, il a été remplacé par un sosie. Pour lui, les preuves qu'il attendait son sur la pochette de ce nouveau disque. Ainsi, il explique que sur le recto de la pochette, on voit les Beatles traversant la rue de l'Abbaye, c'est à dire venant du cimetière qui se trouve à l'extrémité de la rue, et allant vers l'abbaye, comparant ainsi cette scène à celle de l'Ancienne Mythologie Égyptienne qui voulait que les amis du mort guident les pas du défunt pour son dernier voyage. Gibbs va encore plus loin, en expliquant les tenues de chacun des membres du groupe. Ainsi, John Lennon, qui ouvre la marche, est tout de blanc vêtu, couleur qui dans de nombreuses civilisations est celle du deuil ; RINGO, qui suit John, est quand à lui habillé en noir, qui est aussi la couleur du deuil, mais qui est aussi la couleur avec laquelle les croque-mort s'habillent. George Harrison, qui ferme la marche, est habillé quand à lui avec un Jean, qui est par excellence le vêtement de travail du fossoyeur, qui sera le dernier à intervenir après les obsèques. Paul est quand à lui beat028bis.jpg (8201 octets) pieds nus : rappelons que c'est ainsi que l'on inhume les morts en Inde, et d'en d'autres pays de l'Orient. Surtout, l'indice le plus flagrant est le fait qu'il tienne sa cigarette de la main droite, alors qu'en tant que gaucher qui se respecte il devrait la tenir de l'autre main : argument indéniable quand toute la planète sait que Paul est gaucher. Russ Gibbs après avoir commenté les tenues vestimentaires s'attaque à l'environnement dans lequel pose le groupe. Ainsi méticuleusement, il commence la dissection du fond de la photo. Derrière les Beatles qui traversent la rue en file indienne, on aperçoit divers véhicules garés sur les trottoirs. A droite, on distingue un fourgonnette noire, qui selon l'animateur de WKNR, est le véhicule de la morgue municipale. A droite, est stationnée une Coccinelle qui est immatriculée LMW 28 I : là aussi, c'est une preuve indéniable pour Gibbs qui interprète cette plaque de la façon suivante : L : Living pour vivant, M : McCartney, W : Was pour était, 28 : pour 28 ans, If : si en Anglais ; ...soit " McCartney aurait 28 ans si il était vivant ".... Une interprétation un peu tirée par les cheveux, mais qui en vaut bien d'autres... Russ Gibbs qui lança cette macabre nouvelle, trouve très vite des adeptes à cette thèse. Un journaliste, Bob Hamilton, du magazine américain Break, continue les travaux d'exploration de Russ. Effectivement, il se souvient à son tour, qu'en Novembre 1966, après une séance d'enregistrement houleuse, que Paul était parti faire une promenade au volant de sa voiture fétiche, une Aston Martin. Cependant, on l'a retrouvé quelques heures après, victime d'un terrible accident de la route, qui lui coûta la vie. Il fut, selon Hamilton, à moitié carbonisé par les flammes qui rongèrent l'épave de la voiture, avec des lésions graves au visage. Ce triste fait divers tourne évidemment au cauchemar planétaire, car n'oublions pas qu'en 1966, la Beatlemania bat son plein. De ce fait, il n'est beat022bis.jpg (4946 octets) nullement question d'annoncer cette disparition au public, et cela pour plusieurs raisons. Tout D'abord, la mort de Paul, le plus charismatique des Beatles, annonçait irrémédiablement, et à brève échéance la mort du groupe. Ensuite, on n'osait imaginer la vague de suicides des fans qui aurait suivi l'annonce d'une telle catastrophe. Enfin, en revenant plus aux éléments matériels, et plus particulièrement financiers, l'annonce de la mort de Paul provoquerait l'anéantissement de l'empire financier déjà existant, catastrophe que les hommes d'affaires chargés du groupe ne peuvent pas et ne veulent pas imaginer. C'est ainsi que naît l'idée de trouver un sosie, un double parfait du bassiste décédé, et de l'insérer petit à petit au groupe, les fans n'y voyant que du feu. Ainsi, John, George et RINGO organisent un concours et on trouve la perle rare, le clone du regretté Paul, un certain William Campbell. Ce dernier à presque le même âge que Paul, lui ressemble de façon étrange, et il gardera le secret de ce terrible plan, moyennant financez. Pour ce qui est du domaine artistique, il n'y a aucun problème : on lui demande uniquement de faire illusion. En studio, les trois autres Beatles, et plus particulièrement John Lennon vont redoubler de travail, et continuer de chanter et de composer, pour masquer au mieux ce " vide ". Aussi, pour éviter que ne soit démasquer la supercherie, il est décidé à cette époque que le groupe ne se prêtera plus à des prestations scéniques, et se consacrera uniquement à du travail en studio. Si le poids est lourd a porter pour George et RINGO, il devient un véritable terrain de jeux pour Lennon, terrain sur lequel il joue d'ailleurs avec l'humour caustique et le cynisme particulier qu'on lui connaît. Après que la pochette d'ABBEY Road ait délivré tous ses secrets, le journaliste et l'animateur partent à la traque de tous les indices confortant cette thèse. Ainsi, ils portent à présent leur attention sur la pochette de beat020bis.jpg (3672 octets) l'album compilation " YESTERDAY AND Today ". Le titre que l'on traduira en français par " Hier et Aujourd'hui " est assez explicite et démontre déjà la possibilité d'un changement, une rupture entre justement hier, où Paul était vivant, et aujourd'hui où il n'est plus des nôtres. Mais, au delà de ce titre ambiguë, la pochette recèle aussi d'indices troublants. Ainsi sur la première version du disque (si rare de nos jours), sur laquelle on voit les quatre musiciens en blouse de docteur, tenant des morceaux de poupées déchiquetées et sanguinolentes, démontre bien une certaine violence et illustre bien un drame, la fin d'une vie. Cette pochette, de par sa violence subjective, et son goût de la provocation est aussitôt retirée du marché. Le disque continue cependant a être commercialisé, mais avec une pochette encore plus détentrice d'indices. Sur cette dernière, on voit John, George et RINGO, entourant une malle à demi-fermée dans laquelle est enfermé Paul : photo d'autant plus troublante si l'on assimile la malle à un cercueil (faut-il être plus clair). Là où cela devient encore plus fort, c'est lorsque les membres du groupe parlent indirectement de cette disparition beat018bis.jpg (4614 octets) dans les textes et effets spéciaux des chansons. Ainsi, si l'on prend le titre " Strawberry Fields Forever " les paroles ne laissent planer aucun doute : " Leaving is easy with eyes closed/ Misunderstanding all you see/ It's getting hard to be someone/ But it all Works out/ It doesn't matter much to me ..." soit en français : " Vivre est facile avec les yeux fermés/Se tromper sur tout ce que l'on voit/ Cela devient difficile d'être quelqu'un/ Mais à la fin tout s'arrange/ Et puis je m'en fous... ". C'est ce que chante Lennon. Si l'on écoute bien la fin de cette chanson, un autre indice, une preuve importante apparaît : dans les 30 dernières secondes de la chanson, sur le morceau rajouté, décousu du reste de la chanson, alors qu'un orchestre indien joue et semble passer devant le micro, on entend John Lennon se lamenter dans le lointain : " I buried Paul, I burried Paul... " soit en français " j'ai enterré Paul, j'ai enterré Paul.... " Mais déjà à l'époque, l'album " Sergent Pepper... contenait des preuves. Le 1er Juin 1967, après plus d'un an d'absence sur scène, les Beatles sortent le disque pop du siècle : Sergent Pepper. Les Fans se ruent dans les bacs des disquaires, et ils beat012bis.jpg (10408 octets) ne vont pas être déçus du voyage auquel les Beatles les invitent.... avec un tel album, on touche au domaine du sublime dans le Rock'n Roll : un disque tel, qu'il ouvrira des portes nouvelles aux générations futures de musiciens qui ignoraient qu'on pouvait aller si loin... en résumé un album révolutionnaire sur le plan de la création et de la musicalité. Pour ceux qui sont convaincus de la mort du bassiste, c'est l'occasion de se remettre à la recherche de ces indices macabres et de tenter de porter au grand jour cette supercherie. Il y a d'abord la pochette. Pour commencer, il y a ces statues de cire représentant les Beatles pendant la période 65-66, statues qui peuvent être assimilées à des cadavres embaumés. Il y a ensuite, à droite une petite poupée aux cheveux roux, tenant dans sa main une voiture, prête à tomber dans le vide : cette voiture qu'elle est-elle ? Il s'agit ni plus ni moins que d'une Aston Martin, soit la même marque de voiture que celle dans laquelle Paul aurait trouvé la mort. Toujours sur la pochette, tandis que John, RINGO et George tiennent dans leurs mains des instruments dorés, Paul est le seul des quatre a tenir un instrument noir... couleur du deuil. Au dessus de la tête de Paul, on distingue une main grande ouverte : ce geste bien qu'anodin pour certain, est le symbole que l'on utilisait jadis dans la culture celtique pour permettre au mort d'accéder au paradis... un sésame pour l'après vie. Toujours sur cette couverture figurent des personnalités incarnant la violence, ou qui sont morts de façon violente : Sonny Liston (boxeur), Marilyn beat021bis.jpg (6207 octets) Monroe (suicide) Bob Dylan (victime à l'époque d'un accident de moto dans lequel il faillit perdre la vie), Jane Mansfield (décapitée dans un accident de voiture). Les photos à l'intérieur de la pochette sont aussi explicites. Tout d'abord, la photo centrale, sur laquelle on peut voir Paul arborer un écusson noir sur lequel sont gravées 3 lettres dorées : O.P.D., et pour Hamilton et Gibbs, cela ne fait aucun doute ; ce sigle signifie Officially Pronounced Dead, c'est à dire Déclaré Officiellement mort. Le verso de la pochette mentionnant pour la première fois les paroles des chansons contient lui aussi sa part d'énigme : pourquoi Paul est-il de dos alors que les trois autres sont de face... peut-être pour montrer que quelqu'un est bien là pour être le quatrième Beatles, mais que ce n'est pas celui que l'on croit. D'autres preuves sont aussi disséminées dans les textes des chansons. Ainsi, la chanson " A Day in The Life " est émaillée de quelques allusions à cette tragique disparition. Dans le premier couplet, John prononce ces quelques phrases : " I read the news today, oh Boy / About a lucky man who made the grade/ And though the news was rather sad : Well I just had to laugh/ I saw the photograph. / He blew his mind out in a car/ He didn't notice that yhe light has changed/ A crowd of people stood and stared/ They'd seen his face before... " soit " J'ai lu le journal ce matin, oh mec/ Au sujet d'un type qui avait tout eu pour réussir/ Et, bien que les nouvelles soient plutôt tristes/ J'ai presque failli rire/ Il s'est explosé la tête dans sa voiture/ Il n'avait pas du remarquer que les feux avaient changés/ Une foule de gens s'est rassemblée autour de l'épave/ Ils avaient déjà vu son visage avant... ". Couplet qui accrédite donc bien la thèse selon laquelle Paul aurait perdu la vie beat006bis.jpg (13153 octets) dans un accident de la route. MAGICAL MYSTERY Tour : la thèse du décès se confirme. Peu de temps après la sortie de " Sergent Pepper ", les Beatles décident de renouveler leur expérience cinématographique. Aussi, après avoir joué dans " A Hard DAY'S Night " et " Help ! ", les Beatles tournent " MAGICAL MYSTERY Tour " ; prétexte aussi à offrir de nouveaux indices. Ainsi, lors de la chanson " The FOOL on The Hill ", tout de noir vêtu Paul, seul, évolue sous un fond de coucher de soleil : fin de jour, fin de vie. Plus loin, dans la chanson " I'm The WALRUS " porte sa montre au poignet droit alors que tout le monde sait que le vrai Paul, est gaucher. Encore plus étrange, le nom de beat002bis.jpg (3257 octets) l'hôtesse du bus MAGICAL MYSTERY Tour : Wendy Wenters, soit si l'on supprime les W de chacun des deux mots : Endy Enters soit en français " Finalement enterré ". A un autre moment dans le film , alors que Paul est en uniforme, derrière un bureau, on distingue devant lui une plaque sur laquelle est inscrit : " I Was " : j'étais ; et lorsque George, John et RINGO arborent à leur boutonnière une rose rouge, Paul quand à lui a une rose noire : une immortelle. L'Album Blanc, l'album le plus troublant  vient en 1968 (le blanc est la couleur beat010bis.jpg (3692 octets) du deuil dans certains pays...), et lui aussi sera un magnifique terrain d'investigation pour trouver les preuves que veules bien donner les Beatles sur ce mystère. Ainsi, entre la chanson " I 'm so tired " (" Je suis si fatigué ") et " Black Bird ", on peut entendre John prononcer une phrase inepte, sans rapport avec les deux titres. Il s'agit en fait d'une bande passée à l'envers, qui une fois lue dans le bon sens livre un bien macabre message : " Paul is dead now, miss him, miss him.... " : Paul est mort maintenant, regrettons-le, regrettons-le...... Un autre titre recèle de bien d'autres mystère, plaidant pour la beat031bis.jpg (11532 octets) thèse de la disparition et de la substitution : c'est " Révolution number 9 ". Ainsi, lorsque l'on entend 20 ou 30 fois " Number 9, Number 9 " la lecture de la bande en sens inverse révèle le message " emmène moi en mort, emmène moi en mort... ". Dans le même titre très expérimental et donc sujet à interprétation on entend plusieurs fois : " Sortez-moi de là... sortez moi de là... Il a heurté un poteau télégraphique... on ferait mieux de l'emporter chez un chirurgien.... sortez moi de là... " suivent ensuite des cris puis " mes ailes sont brisées... ma tête aussi, je ne peux plus parler... " il y a alors des bruits de foule, des gémissements, des bruits de freins, de dérapages, d'explosions. Les Beatles sortent ensuite l'album " Let it Be " que l'on peut traduire par qu'il en soit ainsi. La pochette encadrée de noir n'est pas sans rappeler un faire-part de décès. Autre élément troublant, la chanson " Come together " (Rejoins-nous), dans laquelle John s'égosille en chantant " One and One and One is Three ", mais où est donc passé le quatrième Beatles. Enfin, rappelons que c'est en 1967 que Paul laisse tomber sa petite amie de toujours, Jane Asher, pour divergence d'opinion et se laisse pousser la barbe et les moustaches pour changer d'apparence à ce moment crucial. John, RINGO et beat034.jpg (23004 octets) George partent prier en Inde afin de prier on ne sait quoi, mais on sait qui peut-être?. Mais si Gibbs et Hamilton s'étaient trompés et que cette histoire soit un canular, monté de toutes pièces par des personnes en mal d'exclusivité. Au moment de la naissance de la rumeur, Paul très occupé à préparer son album solo, n'avait pas pris la peine de démentir cette rumeur. Cependant, en 1970, il confie aux journalistes de " Life " certaines informations qu'ils reprendront sous le titre " Paul est encore des nôtres ". Ainsi, tour à tour il démonte tous les arguments que Gibbs et Hamilton avaient avancés : l'écusson O.P.D. signifie en fait Ontario Police Dept. et non Offially Pronounced Dead. Ledit écusson lui avait été offert lors de la tournées des Beatles aux États-Unis, et en l'arborant sur sa tenue de Sergent Pepper, Paul comptait les remercier de ce présent.  Sur la pochette d'ABBEY Road : Paul était pieds nus car cette année là, il faisait une chaleur caniculaire à Londres. De plus, tout le monde qui connaît ABBEY Road à Londres sait très bien qu'à gauche de la rue ne se situe pas un cimetière, mais une maison de retraite. En ce qui concerne la beat044.jpg (8762 octets) fourgonnette noire, il ne s'agit pas d'un véhicule de la morgue, mais d'un véhicule de la Police chargée d'assurer une protection rapprochée du groupe victime de harcèlement de la part des fans. En ce qui  concerne la plaque de la voiture blanche, il est vrai que cela aurait été une coïncidence heureuse, mais rappelons qu'à la date de la sortie du disque, Paul n'avait pas 28 ans, mais 27 ans. Sur la chanson Strawberry field, et en particulier le pont final, John ne dit pas " I buried Paul " mais " Cranberries Sawce " terme dont John aimait se servir pour désigner un morceau pas assez Rock. Enfin lors de son interview Paul rajoute qu'il adore sa vie de " gentleman-Farmer " et qu'il aime bien lorsqu'il est dans sa propriété d'Écosse faire lui même ses courses dans la petite ville de Campbell Town (le sosie de Paul s'appellerait William Campbell !!). Force est de constater cependant, que si il s'agit bien de William Campbell, il est à féliciter lorsque l'on considère sa carrière solo.... Il est à noter que Paul aime bien s'amuser de cette rumeur. Lors de la sortie de son disque " Paul is Live " (" Paul est vivant "), il n'a pas résisté à l'envie d'introduire une allusion en rajoutant " Paul is live..... in a new world ".

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ED   18-06-2008
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